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  Avant d’essayer de comprendre en quoi et pourquoi Jésus maîtrisait si bien la physique quantique sans jamais en avoir entendu parler, puisque cette théorie n'est apparue que deux millénaires plus tard, en 1900, voyons quelle en est la définition. Qu’est-ce que la physique quantique ?

  C’est la physique fondée sur la théorie quantique ou théorie des quanta, c’est-à-dire la théorie physique qui traite du comportement des objets physiques au niveau microscopique [atome, noyau, particules]. La théorie quantique, ou théorie des quanta, est née au début du XX^e siècle grâce aux travaux de M. Planck, A. Einstein et N. Bohr. Contrairement à la physique classique, elle décrit la matière et le rayonnement de manière discontinue, utilisant pour cela le concept d’unités discrètes appelées quanta. Un système passe ainsi d’un état à un autre selon certaines valeurs définies : c’est la quantification. L’effet photoélectrique illustre cette propriété. Par ailleurs, cette théorie décrit l’état d’un système non plus par sa position et sa vitesse, mais par sa fonction d’onde, qui permet de calculer sa probabilité de présence. Ainsi, un objet quantique [ou quanton, par exemple boson ou fermion] peut se trouver à deux endroits à la fois.) (source larousse.fr)

   Les lois de la physique quantique relatives à l’infiniment petit n’ont rien à voir avec celles de la physique « classique » qui règlent notre vie de tous les jours. La physique quantique est l’étude des événements qui se passent à très petite échelle. C’est celle des forces atomiques qui sous-tendent notre monde physique. La première aide à la compréhension de la deuxième, tout en la complétant, même si elle est plus difficile à appréhender pour nous, car nous sommes plus familiers des lois physiques régissant notre univers visible, comme la loi de la gravitation, par exemple. Ces deux visions de la physique, radicalement différentes, étant apparemment dépendantes l’une de l’autre, c’est sans doute qu’elles peuvent nous apporter, à nous humains, une compréhension plus profonde des règles de fonctionnement de notre univers, pour une meilleure adaptation à notre environnement.

   Quelles sont les principales découvertes de la physique quantique ?

– Il existe un champ d’énergie qui unit toute la création,

– ce champ joue un rôle de contenant, de pont et de miroir pour nos croyances intérieures,

– ce champ n’est pas localisé, et il est holographique. Chacune de ses parties est connectée à toutes les autres et reflète l’ensemble sur une petite échelle,

– nous communiquons par ce champ par le langage de l’émotion.

(source : « La divine matrice » de Gregg Braden)

   Au terme de travaux scientifiques commencés au 20ème siècle, la physique quantique a fait une découverte majeure : l’idée précédemment admise par la plupart des scientifiques, que chaque élément de l’univers est séparé des autres s’avère en réalité erronée. Car les recherches effectuées sur l’ADN humain prouvent le contraire absolu :

– l’ADN humain exerce un effet direct sur ce dont notre monde est fait,

– l’émotion humaine exerce un effet direct sur l’ADN, qui affecte ce dont notre monde est fait,

– la relation entre les émotions et l’ADN transcende le temps et l’espace. Les effets sont les mêmes, quelque soit la distance.

(source : « La Divine Matrice » de Gregg Braden)

   Le livre de Gregg Braden, dont je cite ci-dessus deux extraits, est un puits de renseignements. Je vous le recommande chaudement. C’est grâce à ce livre, découvert un jour par hasard, que j’ai pu m’initier à la physique quantique et me conforter dans ma conviction que l’on peut croire en Dieu et en la science en même temps. L’un n’annule ni ne contredit l’autre. Bien au contraire, l’un authentifie l’autre. La « Divine Matrice » est un ouvrage puissant, dont les explications sont extrêmement claires et accessibles à tous les néophytes, dont je suis. Les éléments de compréhension fournis dans ce livre furent pour moi tout à fait révélateurs du fait que notre univers est réellement une « Divine Matrice » qui nous relie à tout ce qui existe en nous et autour de nous, dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand, et surtout qui nous relie les uns aux autres. Il y a un passage du livre que j’aime particulièrement, il va me servir à illustrer mon propos concernant le fait que Jésus était à la fois le concepteur et le maître de la physique quantique, ainsi que sa révélation dans la matière :

« Par le pouvoir de notre conscience holographique et non localisée, chacun de ces choix apparemment insignifiants a des conséquences qui s’étendent bien au-delà des lieux et des moments de notre vie. Nos choix individuels se combinent pour former notre réalité collective ; c’est ce qui rend les découvertes à la fois captivantes et effrayantes. Par cette connaissance, nous voyons :

– pourquoi nos souhaits, nos pensées et nos prières sont déjà rendues à destination ;

– que nous ne sommes pas limités par notre corps ni par les lois de la physique ;

– comment nous soutenons ceux que nous aimons où qu’ils soient, sur le champ de bataille ou dans la salle de conférence, sans jamais quitter notre foyer ;

– que nous avons la potentialité de guérir instantanément ;

– qu’il est possible de voir dans le temps et dans l’espace sans jamais ouvrir les yeux.

   Quel personnage historique le plus célèbre de tous les temps démontra le premier la réalité de ces vérités que nous semblons découvrir seulement aujourd’hui ? Jésus ne démontrait-il pas naturellement, au quotidien, toutes les facultés ci-dessus énumérées ? Jésus ne possédait-il pas tous ces pouvoirs considérés par tous comme des miracles ? Jésus n’avait-il pas le pouvoir de commander aux éléments ? N’avait-il pas le don d’ubiquité et de clairvoyance ? Pourquoi était-il capable de guérir les hommes, même à distance ? Enfin, comment ne pas mieux comprendre les paroles de Jésus à la lumière de sa « vision quantique » ? « Si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à ce sycomore : Déracine-toi, et plante-toi dans la mer ; et il vous obéirait. Luc 7 : 6.

   Bien entendu, pendant la période de son incarnation, Jésus en tant qu’être humain fait de chair et de sang, n’avait jamais entendu parler de physique quantique, pour la simple et bonne raison que celle-ci n’avait pas encore été découverte. Pourtant, il en connaissait parfaitement les règles et les principes, qu’il utilisait sans même y penser, et pour cause, il en était le concepteur, même si durant le temps de son incarnation il n’était pas pleinement conscient de cela. Du moins est-ce ce que l’on peut supposer. Beaucoup d’éléments nous permettent de penser qu’en vue de sa mission sur terre, où il était censé vivre la vie d’un être humain, Jésus avait « oublié » sa nature divine, comme si sa mémoire avait été effacée pendant ce laps de temps. En effet, comment Jésus aurait-il pu vivre réellement l’expérience d’une vie humaine, s’il était resté pleinement divin ? Sa mission avait pour but de montrer aux hommes qu’en suivant son exemple ceux-ci pourraient se sauver de toute situation négative et trouver le bonheur et la vie, mais les hommes, eux, ne sont pas « pleinement » divins. Si Jésus n’avait pas « oublié » ses extraordinaires facultés divines pendant un certain laps de temps et avait continué à les utiliser pendant la durée de son incarnation, ses disciples auraient pu lui dire : « Ah mais bien sûr, pour toi c’est facile de faire ceci ou cela, tu es Dieu ! » Par ailleurs, comment Jésus aurait-il pu démontrer aux hommes ce qu’est la foi ?

   C’est parce que, pendant une période, Jésus a cessé de posséder certains attributs divins, que la foi lui fut nécessaire autant qu’à nous pour les manifester.

   Cependant, il n’en demeurait pas moins vrai que Jésus était bien le créateur de ce que nous nommons aujourd’hui la physique quantique. Évidemment, puisqu’il était l’origine et le but, la cause et la conséquence. Le concepteur et le participant.

  Et si tout ceci pouvait nous aider à expliciter ces célèbres paroles divines : « je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin »que l’on retrouve dans Apocalypse 22 : 13 ?

   La théorie quantique soutient que nous sommes à la fois dépendants et cocréateurs de la divine matrice dans laquelle nous baignons tous. Nous sommes uniques, tout en ne formant qu’UN, et en étant interdépendants.

   En s’incarnant, Jésus est venu, en quelque sorte, illustrer cette merveilleuse réalité. Ne serait-ce pas ce qu’il nous confirme implicitement quand il nous dit : « Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Jean 14 : 12-13….

   Je pense que Jésus énonce là bien plus encore qu’une épreuve de foi pour les croyants, il authentifie pour nous l’une des réalités de la physique quantique, tout à fait réalisable, et qui devrait s’exprimer de façon automatique et normale, si toutefois les hommes avaient le cœur assez rempli d’amour pour vouloir que soit manifesté au grand jour cette union naturelle existante entre tous les peuples.

   Si Jésus possédait au naturel tous ce que nous, humains, nommons pouvoirs surnaturels et qui, pour lui ne représentaient que de simples capacités physiques naturelles, ne serait-ce pas parce que Lui possédait, exprimait, et vibrait au quotidien l’Amour Inconditionnel. ?

   Jésus ne cherchait pas à obtenir des pouvoirs divins pour mieux aider ses semblables parce qu’il les aimait, mais c’est parce qu’il les aimait que ces pouvoirs se manifestaient automatiquement et qu’il les guérissait, physiquement et moralement. Car, et nous avons tendance à l’oublier, l’Amour est beaucoup plus qu’un sentiment, c’est aussi et surtout une énergie, une énergie de vie et de guérison qui préside à tout ce qui existe sur notre terre. En exprimant l’Amour Inconditionnel, Jésus exprimait la vie, dont il manipulait naturellement l’énergie. C’est pourquoi ses guérisons étaient si puissantes et instantanées.

   Aussi, quand il nous dit à tous : « Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils », ne doutons pas un seul instant que tout ceci soit vrai. Mais n’oublions plus jamais également que la condition sine qua non, pour que le « vrai » devienne « possibilité », c’est de nous aimer les uns les autres, inconditionnellement, comme Jésus nous a aimés le premier.